samedi 8 juin 2019

Neuvaine patriotique à saint Jean-Baptiste 2019

Cliquez sur l'image pour l'élargir.

Comme à tous les ans, Tradition Québec vous convie à vous joindre à cette grande neuvaine à saint Jean-Baptiste, patron des canadiens-français.

Quoi faire? 

Récitez dévotement chaque jour, du 15 au 23 juin, cette prière adressée au saint patron de notre peuple.

Pourquoi? 

Le peuple canadien-français gît dans la misère, dans la décadence et le péché. Notre patrie fut jadis grande parmi les nations catholiques. Maintenant, elle est à l'avant-garde de ce qu'on appelle la Révolution, c'est-à-dire le renversement de l'ordre naturel établi par Dieu.

Compatriotes Québécois, rappelez-vous des labeurs, des souffrances, ainsi que des gloires de nos ancêtres. Reprenez votre vrai nom de Canadien-français, chassez tout ce qui est contre-nature, pervers, blasphématoire, gauchiste, anti-civilisationnel de votre vie. Renouez avec votre identité et votre culture. Soyez des Canadiens-français, de dignes descendants des Français qui ont colonisés cette terre afin d'y apporter la Lumière de la Foi dans le Nouveau Monde.


Texte de la neuvaine


Ô Saint Jean-Baptiste,
illustre Précurseur du Messie, vous que le Sauveur a proclamé
le plus grand parmi les enfants des hommes,
et que Notre Saint Père le Pape Pie X
a donné pour patron spécial aux Canadiens Français ;
vous avez merveilleusement préparé,
par votre vie austère, pénitente et tout angélique,
les voies au Règne de l'Agneau Rédempteur.


Nous vous en supplions, daignez nous obtenir la grâce
de marcher sur vos pas glorieux,
de conserver la foi de nos pères,
de défendre avec zèle les intérêts de la Sainte Église catholique,
et de réaliser les desseins de la Divine Providence
sur chacun de nous, afin qu'après l'exil de cette vie,
nous puissions nous retrouver dans la Céleste Patrie,
pour y chanter les louanges du Roi éternel de tous les peuples,
pendant les siècles des siècles.


Ainsi soit-il.

dimanche 10 juin 2018

Grande neuvaine patriotique à saint Jean-Baptiste 2018

Cliquez sur l'image pour l'élargir.

Comme à tous les ans, Tradition Québec vous convie à vous joindre à cette grande neuvaine à saint Jean-Baptiste, patron des canadiens-français. 

Quoi faire ? 

Récitez dévotement chaque jour, du 15 au 23 juin, cette prière adressée au saint patron de notre peuple. 

Pourquoi ? 

Le peuple canadien-français gît dans la misère, dans la décadence et le péché. Notre patrie fut jadis grande parmi les nations catholiques. Maintenant, elle est à l'avant-garde de ce qu'on appelle la Révolution, c'est-à-dire le renversement de l'ordre naturel établi par Dieu. Nous disons non à ce déclin et nous supplions le Ciel de sauver le Canada français.

Compatriotes Québécois, rappelez-vous des labeurs, des souffrances, ainsi que des gloires de nos ancêtres. Reprenez votre vrai nom de Canadien-français, chassez tout ce qui est contre-nature, pervers, blasphématoire, gauchiste, anti-civilisationnel de votre vie. Renouez avec votre identité et votre culture. Soyez des Canadiens-français, de dignes descendants des Français qui ont colonisés cette terre afin d'y apporter la Lumière de la Foi dans le Nouveau Monde.

Texte de la neuvaine

Ô Saint Jean-Baptiste,
illustre Précurseur du Messie, vous que le Sauveur a proclamé
le plus grand parmi les enfants des hommes,
et que Notre Saint Père le Pape Pie X
a donné pour patron spécial aux Canadiens Français ;
vous avez merveilleusement préparé,
par votre vie austère, pénitente et tout angélique,
les voies au Règne de l'Agneau Rédempteur.

Nous vous en supplions, daignez nous obtenir la grâce
de marcher sur vos pas glorieux,
de conserver la foi de nos pères,
de défendre avec zèle les intérêts de la Sainte Église catholique,
et de réaliser les desseins de la Divine Providence
sur chacun de nous, afin qu'après l'exil de cette vie,
nous puissions nous retrouver dans la Céleste Patrie,
pour y chanter les louanges du Roi éternel de tous les peuples,
pendant les siècles des siècles. 


Ainsi soit-il.

dimanche 23 juillet 2017

Retour sur le pèlerinage du 22 juillet 2017 à la basilique de Sainte-Anne-de-Beaupré

Les pèlerins et leur aumônier, monsieur l'abbé Pierre Roy, lors de leur arrivée au sanctuaire de Sainte-Anne-de-Beaupré, près de Québec.




« Vive sainte Anne elle est notre patronne
Puissante au ciel elle exauce nos vœux
Pour ses enfants elle est toujours si bonne
Invoquons-la, nous la verrons aux cieux. »



La relique de sainte Anne.
C'est en 1658 que des Bretons en mer, sauvés par leurs prières à sainte Anne lancèrent le projet de construire un sanctuaire en son honneur.

En 1658, Étienne de Lessard, un des premiers colons, concède certaines terres en vue de la construction de la première chapelle de bois dédiée à sainte Anne, particulièrement vénérée en Nouvelle-France. Lors de la construction, la guérison d'un ouvrier a lieu, celle de Louis Guimont, attestée par l'abbé Thomas Morel. C'est le premier de nombreux miracles.

En 1877, le cardinal Taschereau ordonne aux Rédemptoristes de Baltimore, et ensuite de Belgique, de prendre en main le sanctuaire dont la popularité ne cesse de croître depuis l'arrivée du chemin de fer en 1881. Cette église sera officiellement consacrée en 1878 et recevra du pape Léon XIII le titre de basilique mineure en 1886, le deuxième temple catholique au nord du Mexique à porter ce titre (la cathédrale de Québec l'ayant reçu dès 1874). Détruite par un incendie en 1922, la construction de l'actuelle basilique commença en 1923, pour s'achever en 1962.

dimanche 11 juin 2017

Grande neuvaine patriotique à saint Jean-Baptiste

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Tradition Québec vous convie à vous joindre à cette grande neuvaine à saint Jean-Baptiste, patron des canadiens-français. 

Quoi faire ? 

Récitez dévotement chaque jour, du 15 au 23 juin, cette prière adressée au saint patron de notre peuple. 

Pourquoi ? 

Le peuple canadien-français gît dans la misère, dans la décadence et le péché. Notre patrie fut jadis grande parmi les nations catholiques. Maintenant, elle est à l'avant-garde de ce qu'on appelle la Révolution, c'est-à-dire le renversement de l'ordre naturel établi par Dieu. Nous disons non à ce déclin et nous supplions le Ciel de sauver le Canada français.

Compatriotes Québécois, rappelez-vous des labeurs, des souffrances, ainsi que des gloires de nos ancêtres. Reprenez votre vrai nom de Canadien-français, chassez tout ce qui est contre-nature, pervers, blasphématoire, gauchiste, anti-civilisationnel de votre vie. Renouez avec votre identité et votre culture. Soyez des Canadiens-français, de dignes descendants des Français qui ont colonisés cette terre afin d'y apporter la Lumière de la Foi dans le Nouveau Monde. 

jeudi 29 octobre 2015

La criée pour les âmes




La criée pour les âmes, qui a lieu au tout début du mois de novembre de chaque année, est destinée à recueillir des fonds pour faire chanter des messes pour les fidèles défunts. Ainsi, grâce à ce geste, quelques  pauvres âmes du purgatoire pouvaient jouir des plaisirs célestes.



Nos racines, numéro 95, page 1888, les éditions T.L.M. 1981 

vendredi 10 juillet 2015

La fournée





«La fournée.» « Quand le four était suffisamment réchauffé, écrit Marius Barbeau, on en raclait la cendre et les tisons vifs. La pâte gonflée presque au point de déborder des casseroles y faisait alors son entrée, à l’aide d’une palette de bois surmontant un long manche. Puis on refermait les petites portes à deux battants, qui servaient à emprisonner la chaleur dans les parois de pierre ou de terre cuite jusqu’à ce que le pain en émergeât jaunissant tout autour et doré sur le faîte.»
 
 
Nos racines, numéro 107, page 2135, les éditions T.L.M. 1981

lundi 29 juin 2015

Les martyrs canadiens


 
Parmi les victimes des guerres franco-iroquoises, il y a des pères et des frères jésuites qui furent déclarés saints en 1930 : les pères Isaac Jogues, Jean de Brébeuf, Gabriel Lalemant, Charles Garnier, Noel Chabanel, le frère René Goupil et le donné Jean la Lande.

Voici la peinture attribuée à l’abbé Pommier, le mort du père Jogues (à genoux) et des pères Brébeuf et Lalemant.
 
Nos racines, numéro 8, page 144 et 145, les éditions T.L.M. 1979

 
 

jeudi 11 juin 2015

Au rythme de l'Angélus




Traditionnellement, l’Angélus sonne à six heures du matin, à midi et à six heures du soir, indiquant aux travailleur l’heure à laquelle débute et prend fin sa journée de travail ainsi dont il profite pour se restaurer. Au XIX siècle, dans une société qui est à la fois rurale et urbaine, l’Angélus est utile à l’ouvrier comme à l’agriculteur. Seulement, il est plus utile au premier qu’au second car, vulgaire rouage de l’industrie, l’ouvrier est prisonnier d’une tâche ou d’une machine et il risque beaucoup s’il détourne le regard pour voir si le soleil est au zénith ou sur la route de la nuit.


Nos racines, numéro 113, page 2256, les éditions T.L.M. 1981

mardi 2 juin 2015

Le Pape Léon XIII et les évêques de la province ecclésiastique de Québec




Les évêques de la province ecclésiastique de Québec, d’après une lithographie publiée en 1884. Au centre, le Pape Léon XIII. Tout autour; Mgr Joseph Larocque, Mgr Louis-François Laflèche, Mgr Édouard-Charles Fabre, Mgr  Joseph-Thomas Duamel, Mgr  Ignace Bourget, Mgr Jean-Pierre-François Laforce-Langevin, Mgr Louis-Zéphirin Moreau, Mgr Henri Smeulders,  Mgr Elzéar-Alexandre Taschereau, Mgr Antoine Racine, Mgr  Narcisse-Zéphirin Lorrain, Mgr François-Xavier Bossé et Mgr Dominique Racine.

 
Nos racines, numéro 116, page 2307, les éditions T.L.M. 1982



dimanche 24 mai 2015

La bannière de Carillon des zouaves (1910)




Réplique de la bannière de Carillon que les zouaves de Québec font confectionner vers 1910. Selon Claude Paulette, « les proportions en ont toutefois été modifiées pour en faire un drapeau plutôt qu’une bannière.»


Nos racines, numéro 119, page 2378, les éditions T.L.M. 1982

mardi 12 mai 2015

Closse et Pilote



Raphaël-Lambert Closse est un des premiers colons de Ville-Marie. Il arrive probablement dans la colonie en 1647. Dès l’année suivante, il est nommé sergent-major, poste qu’il occupe jusqu’à sa mort survenue en février 1662. Il meurt «tué par une bande d’Iroquois, lorsqu’il allait au secours de quelques Français qui étaient en danger». Sa chienne Pilote fut d’un grand secours pour les colons. C’est elle qui dirigeait l’équipe de chiens dressés pour dépister les ennemis.

Nos racines, numéro 8, page 148, les éditions T.L.M. 1979

lundi 4 mai 2015

Le Calvaire de l'Ile d'Orléans




Calvaire, situé dans la paroisse Saint-Laurent de l'Île d'Orléans. Selon l'usage, celui qui passe devant le calvaire doit s'arrêter un court instant et se recueillir. Souvent, lors du mois de Marie, en mai, des habitants allaient le soir réciter leurs prières au pied de la croix.
 
 
Nos racines, numéro 105, p.2085,  les éditions T.L.M. 1981

mercredi 29 avril 2015

Le pacte de Dollard




Une verrière de l’église Notre-Dame de Montréal rappelle le pacte de Dollard et de ses compagnons « de ne point demander quartier ».

Nos racines, numéro 8, page 156-157, les éditions T.L.M. 1979

mercredi 15 avril 2015

Une toile de sainte Anne




 
Au début du XVIIIe siècle, le navire de guerre sur lequel se trouve monsieur Gabriel Roger échappe miraculeusement aux glaces. Pour remercier sainte Anne, qu’il croit être responsable de son salut, le marchand commande une toile qu’il donne en 1717 à l’église de Saint-Anne-de-Beaupré, et fait chanter une messe d’action de grâces.
 
Nos racines, numéro 2, p.34 et 35, les éditions T.L.M. 1979


samedi 4 avril 2015

La croix de Gaspé


 
 
Le 24 juillet 1534, Jacques Cartier plante une croix à Gaspé et prend possession du territoire au nom du roi de France.
Pendant plusieurs années on s’est demandé quel était l’emplacement exact de la croix. Le curé C.-E. Roy, de Gaspé, affirme «que c’est sur la pointe du bassin, dans le sens accepté par le langage populaire, et sur aucune autre – pas même celle de l’hôpital – que Cartier planta sa croix; sur la pointe elle-même et non dans le flanc ou sur le sommet de la montagne qui la domine».
Nos racines, p.57, les éditions T.L.M. 1979

mercredi 4 mars 2015

Les croix de chemin



Les croix de chemin sont très nombreuses au cours de la première moitié du XIXe siècle. Celle-ci s'élève sur le chemin de la Pointe-Lévis. Plessis, en 1818, consent à ce que l'on construise des calvaires «pourvu que le crucifix soit bien fait et non avec une figure ridicule comme il en sort quelques fois des adeptes de l'école de Saint-Vincent» Il ajoute qu'il «faudra exclure tous ces attributs dont on charge quelquefois la croix des grands chemins en campagne; tels que la lune, le soleil, la main, l'éponge, le roseau, etc.»
Nos racines, numéro 78, p.1555, les éditions T.L.M. 1979

samedi 28 février 2015

Madeleine de Verchères

 
 
 

En 1692, une adolescente de 14 ans, Marie-Madeleine que sa famille surnomme affectueusement Magdelon, vit une aventure en tout point semblable à celle vécue par sa mère. La charmante héroïne de Verchères devait elle-même consigner par écrit les détails de son aventure qui allait lui rapporter la gloire. Ce texte raconte que la jeune fille a été surprise aux champs par 45 Iroquois. Saisis de frayeur, elle court à toute vitesse vers le fort où elle pourra s’abriter. La vierge veille sur elle puisque malgré les 45 balles de fusils qui lui sifflaient aux oreilles, elle entre saine et sauf dans le fort de Verchères.


Nos racines, numéro 13, page 249, les éditions T.L.M. 1979


samedi 21 février 2015

La fondation de Montréal






Le 17 mai 1642, les premiers colons de Ville-Marie conduits par Maisonneuve, mettent pied à terre sur l'île de Montréal. Leur premier geste est de remercier Dieu et de lui demander son aide. Le lendemain, lors de la première messe, le père Barthlémy Vimont déclare:

"Ce que vous voyez n'est qu'un grain de moutarde, mais il est jeté par des mains si pieuses et animées de l'esprit de la foi et de la religion que, sans doute, il faut que le Ciel ait de grands desseins, puisqu'il se sert de tels ouvriers et je ne fais aucun doute que ce petit grain ne produise un grand arbre, ne fasse un jour des merveilles, ne soit multiplié et ne s'édentende de toutes parts."

 
 
Nos racines, numéro 6, p.110, les éditions TLM, 1979